Votre newsletter
03/01/2023
L'association Tsaratanana vous souhaite une excellente année 2023, que celle ci puisse permettre la concrétisation de beaux projets solidaires, écologiques et surtout profondémment humains grâce à vous. #ENSEMBLE AGISSONS , essayons de limiter la fracture environnementale et sociale;
Nos activités ont cessé en 2021, l'ouverture des frontières nous a permis de reprendre celles-ci et nous espérons poursuivre avec vous sur cette belle lancée sur 2023.
Merci pour vos soutiens, contributions
Amicalement,
DUGAS Nathalie,
Présidente de l'association Tsaratanana
Cette année 2022 a été marquée par la forte mobilisation de l'association des femmes d'ampakahabe au profit de la mangrove environnante et de leur école.
NOS PROJETS 2023
L'inactivité de 2021 a conduit à ce qu'on redouble d'effort pour dégager et assainir le village d'Ankify, c'est pourquoi au delà de la mise en place des poubelles, de la collecte des déchets, l'action doit se combiner avec une sensibilisation des scolaires, des villageois. C'est le projet de mai 2023!!!!! .
Nous mènerons cette action en collaboration avec l'association MADILO auprès des élèves de l'école.
Une nature et une biodiversité que nous souhaitons protéger grâce à vous!!
L'école d'Ampakahabe reste notre priorité en raison de son insalubrité. Elle accueille à ce jour près de 88 élèves, du CP au CM1.
Elle ne dispose que d'une seule salle classe, obligeant les 2 instituteurs à se relayer, l'un à l'intérieur et l'autre à l'extérieur.
Les classes s'organisent en séquence de 2 heures afin de permettre à chacun de bénéficier de temps scolaire.
Le bâtiment est dépourvu d'eau et de sanitaires
A LA UNE
Le projet de restauration de la mangrove d'Ampakahabe a demarré grâce à la collaboration de SOS CORAIL qui nous a permis de collecter les fonds permettant la mise en place d'un partenariat Mayotte Madagascar.
Le 15 novembre, l'UICN, l'Association Mangrove Environnement de Mayotte et l'association Tsaratanana se sont rendus sur place et ont rencontré les autorités locales et l'association des femmes d'Ampakahabe.
Une semaine de terrain a été nécessaire pour effectuer un état des lieux de la mangrove, recenser les espèces, identifier les causes de déforestation.
